Ce matin, en jetant un oeil à la fenêtre, j'ai cru que j'avais changé de planète : il y avait deux lunes dans le ciel !!

Pourtant, je ne bois rien au petit-déjeuner. Avais-je la berlue ? Non, j'avais mes lunettes sur le nez. Ouf ! Ce n'était que le reflet dans la vitre !

Blues du blog. Patraquage (action d'être patraque). Lassitude et solitude (tu es un solitaire bien entouré, m'avait dit Arnaud M***, un jour). Grisaille et humidité. Envie de rien.
Bon, il ne me reste plus qu'à tricher un peu, j'avais préparé un Top 2005 de mes photos pour mon site. Oh ! Pas les meilleures (j'en ai déjà publiées beaucoup) mais des coups de coeur quand je les ai regardées il y a un jour ou deux. Sur le blog, je pourrai en faire des petits commentaires. Juste pour le fun et me redonner le moral. Deux par jour, c'est raisonnable.

Celle-là, je l'aime bien parce qu'elle oublie les sculptures de Nikki de Saint-Phalle prises par les touristes tout en gardant les couleurs de ses créations. Reflets. Je l'avais mis en papier peint sur mon ordinateur (on ne dit plus :"ça fait carte postale" mais "tu pourrais le mettre en fond d'écran").

Quel regard ! Croisé dans une vitrine je ne sais plus où dans Paris à un moment où je m'interrogeais sur le droit de montrer des photos de personnes sur Internet. Celle-là, j'étais sûr qu'elle ne m'embêterait pas avec ça !

Je ne sais pas si ce billet pourrait intéresser Oricap, le roi des capseurs.
En tout cas, je vais causer de Sandrine Frentz qui fait des reportages et présentent aussi des fois le journal sur Télé Essonne.

A défaut d'Alessandra, on mange des Sandrines !!
Elle est venue vendredi dernier assurer le reportage sur l'inauguration de l'Espace Multimédia Athégien (voir le journal du vendredi 9 décembre 2005).
J'ai un peu parlé avec elle. Elle semblait étonnée qu'on la reconnaisse !?
Mais elle était venue l'an dernier pour la Fête de l'Internet nous interviewer. Je n'ai malheureusement jamais vu le reportage. Il paraît que j'étais très bien et que je disais des choses très fortes.
Ci-dessous : Sandrine Frentz interroge Patricia :

Vendredi, elle venait interviewer Jacques :

Dans le reportage, on m'entraperçoit à peine au fond.
J'ai chopé le cameraman (un Thibaut je ne sais, plus comment).

Mais j'avais aussi vu Sandrine à la télé (sur le Net) :

On ne s'en rend pas compte à l'écran mais elle est plutôt grande et bien faite.
Voilà, c'était un reportage sur une journaliste locale. A vous les studios !
Qui sait, une prochaine fois, j'irai peut-être interviewer Alessandra...

...mais on peut être touriste en son pays !!
Hier soir, sortie-prises de vue by night à Paris avec l'association de photos.
Il faisait froid mais rien n'arrête un photographe !

Vidéo (taille mini) ici : 11 Mo

De Tatou en aiguille, je tombe sur une photo de l'Absolue qui me demande de laisser comme commentaire la 4ème phrase de la page 16 du livre que je suis en train de lire.
Je trouve l'idée très blogoshèrique et vous invite à en faire autant chez moi, chers visiteurs/teuses. Merci !

Hans s'échauffe, Johann prend un air admiratif et rêveur, il est celui que le destin a tenu et tiendra à jamais à l'écart des seins et des fesses de Madame Lena Hotspur, la compagne disparue de son ami, une disparition mystèrieuse.

Waltenberg. p16 (Hédi Kaddour)