Cette fois, j'y suis allé pour de vrai. Ça fait tout drole de visiter une expo dont on a vu des images à la télé. Déçu car j'avais tout vu, en fait des cinq oeuvres de Mueck exposées à la Fondation. Mais quelles oeuvres ! Rien de comparable à une image télévisée ! Qui plus est, les dimensions des sculptures quasi vivantes n'apparaissaient pas vraiment à l'écran. Très fort, dérangeant et c'est vrai que j'aurais aimé en voir plus.

Les petits vieux en taille réelle :


Au sous-sol, un artiste numérique appelé John Maeda. D'abord Nature, huit "motion paintings" . C'était très très joli et en même temps, ça faisait quand même économiseur d'écran...

Puis "eye'm hungry" oeuvres réactives pour les enfants.


T'appuyais sur le clavier et les choux de Bruxelles sautaient en l'air. Rigolo sans plus.
L'installation Red était "out of order". Cela arrive fréquemment dans les oeuvres contemporaines. On imagine mal la Joconde en dérangement...
Ça me rappelle une expo à la Fondation où une installation ne fonctionnait pas et où une adorable jeune femme avec une voix d'aéroport comme en ont les conférencières, était venue m'expliquer ce que j'aurais dû voir ! Un happening merveilleux, l'oeuvre éphémère la plus géniale de la Fondation Cartier (rires).

J'ai filé ensuite à la FNAC Montparnasse acheter un livre pour les neuf ans de ma petite nièce.
Une expo-photos surprenante d'Arnaud Lesage.

Des photos prises à des endroits différents avec une trace identique. Incroyable !

Puis j'ai eu une légère fièvre acheteuse. Pris le dernier Enya, mon autre faiblesse avec Sarah Brightman ainsi que le dernier CD de Texas. Comme d'habitude, j'ai farfouilé au rayon psy de bazar, mon coté bibliothérapeutique et j'ai embarqué 150 petites expériences de psychologie pour mieux comprendre nos semblables (sic). Ya que moi pour prendre des choses pareilles, c'est mon coté femelle.