Comme tout le monde dans le métro, je cours d'une rame à l'autre. Sauf des fois où je m'arrête pour lire les poèmes de la RATP (il y en a souvent des jolis). Là, j'ai pilé, dans un couloir du RER Étoile, devant trois panneaux consécutifs de pubs arrachées comme si c'était une expo de Raymond Hains ou Villéglé :




Je crois qu'ils ne dépareraient pas dans un Musée d'Art Moderne !