lundi 11 juillet 2005

Je blogue, tu blogues, nous bloguons

Houlà ! Moi qui rêvais de devenir critique critique d'art contem, voilà qu'un tas de bloggueurs débarquent de chez lunettesrouges pour zyeuter mon billet sur la dernière expo de la Fondation Cartier !
Pascal D. va-t-il revoir sa façon de considérer mon blog comme auto-biographique ??

Chez ToutesTraces, moi qui rêvais de voyager dans le temps, voilà que je "dédiachronise" le blog. Tout devient "achronique" et Pascal D. va devoir réviser sa définition du blog... ;-))
J'ai donc découvert une inutilité : les billets ne peuvent être datés que de 1970 à 2038 sur Tooblog !! (Sûrement une contrainte UNIX).

Sur le skyblog de Noble-Vie, les jeunes filles disent du bien de leur professeur !!

Traces se met à faire des vidéos...

Le Garde-Mots va bientôt atteindre 20000 visiteurs.

WarOfart, un peu grace aux blogs, a entendu son nom à la télé et rencontre Lam le jeune qui parle de blogs sur Canal Plus à la Coupe du Monde des Jeux Vidéo !

Choses est dans les Coups de Coeur Internet de la Médiathèque d'Athis-Mons.

Marelle connait Angélique.

La Blogosphère devient-elle une nation ?

Retrouver la parole perdue

(...) J'observe simplement la société dans laquelle je vis et j'ai conscience que si la psychanalyse devait disparaître, comme risque aussi de disparaître la liberté de la presse, alors la parole sera vraiment perdue.
J'ai cependant confiance dans la force de la parole et Aldous Huxley nous a montré le chemin. Tant qu'il existera de l'humain, la parole pourra resurgir et donner envie d'échanger. Internet avec ses forums de discussion et l'explosion récente des "blogs", ces journaux intimes accessibles à tous, ce qui est paradoxal, montrent que l'espoir n'est pas vain. Retrouvez le plaisir de la parole. Parlez pour exister, pour moins souffrir. Sachez parler d'amour, raconter des histoires, déclamer de la poésie. Parce que parler, c'est toujours s'adresser à un autre et que l'on n'est pas humain quand il n'y a pas d'échange.

Le goût de vivre. Retrouver la parole perdue. Édouard Zarifian


hébergé par Tooblog, propulsé par DotClear