mardi 19 avril 2005

Le plus grand capseur de tous les temps

Yannick a 33 ans aujourd'hui. C'est incroyable, le nombre de gens à qui je souhaite un bon anniversaire et que je ne connais pas !

Capseur : n. m psychopathe qui clique comme un malade sur sa souris pour faire de magnifiques images des belles de la télé.

Le blog est-il une pièce de théâtre ?

On m'aurait dit il y a un mois, après la conférence de Pascal, que j'aurais deux Alex dans ma vie !! Un scorpion et une d'octobre (peut-être scorpion aussi) !
Vous imaginez un crabe et deux scorpions, ça en fait des pinces !!
Deux Alex, disais-je, on dirait du Feydeau ! Elles passent me voir deux fois par jour maintenant. 195.132 à 16h07 et ma girafe à 17h15. Ouf ! Elles ne se sont pas rencontrées... Vous imaginez les portes du Web qui claquent, une cachée dans un placard informatique... C'est plus difficile qu'on ne le croit la vie d'un blogger !

Et moi qui voulais vous parler d'Alice !
Vous voyez la pub, c'est pas elle mais c'est tout comme.
Alice, c'est une (vraie) I.A (Intelligence Artificielle) et on peut chatter avec elle (si on cause anglais !). Essayez, c'est sidérant !

Continuïté des blogs

Une allusion à la petite nouvelle de Julio Cortazar "Continuïté des parcs" (dans Les Armes Secrètes en Folio) :

"Elle avait commencé à consulter les blogs quelques jours auparavant... Installée dans son fauteuil favori, le dos à la porte pour ne pas être génée par une irritante possibilité de dérangements divers...
Le blog racontait l'histoire d'un homme et d'une femme dans une cabane parmi la broussaille. L'homme avait un poignard tiède à la main...
...ils se séparèrent à la porte de la cabane...
...l'homme monta les trois marches du perron...
...un corridor...
...Personne dans la première pièce, personne dans la seconde. La porte du salon, et alors, le poignard en main, les lumières des grandes baies, le dossier élevé du fauteuil en velours vert et dépassant le fauteuil, la tête de la femme en train de lire un blog sur son ordinateur"
(Adaptée de Julio Cortazar)

Je dédicace cette histoire à Valérie B. qui se reconnaitra, pour la façon dont j'assassine les opercules des barquettes micro-ondables.


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