J'ai testé pour vous l'expo de sculptures au Jardin du Palais Royal :

Manolo Valdes fait dans la répétition. C'est original mais ya que deux sujets (tirés des Menines de Velasquez, me semble-t-il ?).

Passage Beaujolais, la belle inconnue du jour. Celle-ci ne viendra pas me demander d'autorisation de publication :

J'ai testé pour vous l'expo de sculptures à la Place Vendôme :



J'ai trouvé ça très beau mais le cadre était gâché par des travaux sur la place. C'est d'Anna Chromy.

J'ai testé pour vous l'entrée du Ritz mais je n'ai pu aller plus loin que le tourniquet car le groom m'a fait signe que je devais m'arrêter là et je n'ai pas eu le reflexe de prendre une photo.
Pas de photo.

J'ai testé pour vous la Fête des Tuileries :


Un tour de Grande Roue par pur plaisir.

J'ai testé pour vous la fin du Da Vinci Code :

Je sais, c'est pas gentil de raconter la fin d'un livre mais c'est pour éviter à ceux qui ne l'auraient pas lu de le lire...

J'ai testé pour vous le droit à la diffèrence :

Si l'école méritocratique est cruelle aux vaincus, c'est aussi parce qu'elle ne protège pas du mépris des vainqueurs. Et la hiérarchie des établissements et des filières est une échelle de ce mépris. Convaincue de constituer un groupe issu d'une longue et difficile compétition, certaine d'avoir été produite par un système juste puisque chacun pouvait y concourir, l'élite scolaire devenue élite sociale peut accumuler les avantages et les privilèges avec une impeccable bonne conscience. En ce sens, un système de production d'inégalités relativement justes ne préserve nullement d'une sorte de darwinisme scolaire. La critique de l'orgueil des castes issues de la méritocratie scolaire, des diplômes prestigieux et des grandes écoles, est trop banale en France pour qu'il soit nécesssaire d'insister. Ce mode de fabrication des dirigeants ne produit pas finalement des élites ouvertes, généreuses et attentives au sort des moins favorisés. Croire au mérite quand on y triomphe permet de se défaire de la vague culpabilité attachée parfois aux héritages si manifestement injustes dans une société démocratique où les individus doivent être le produit de leurs propres oeuvres.

L'école des chances. Qu'est-ce qu'une école juste ? François Dubet.

Pour Dubet, l'égalité des chances est une fiction... mais il faut y croire !!

Aujourd'hui, je suis allé voir l'expo Couturier au Musée Maillol.
Rue du Bac, je passe toujours par la galerie Maeght, une de mes galeries fétiches. Doublement en ce lundi car il y avait de vraies toiles d'Aki Kuroda exposées et non des lithos ou des repros.

Il y avait aussi des fleurs rouges magnifiques.
Aki Kuroda est un de mes peintres favoris, Dieu seul sait pourquoi !

8 euros, l'expo au Musée Maillol, ça fait très cher à chaque fois quand on ne veut voir que l'exposition et que l'on connait le musée par coeur.
Mais Robert Couturier, c'était très très bien. Surtout qu'il n'y avait pas foule.
Du tout "Petit Christ" à la gigantesque "Savonnette" !!

J'aurais bien mis l'Homme Qui Marche de Giacometti à coté de le Femme qui Marche de Couturier pour faire Le Couple Qui Marche !!!
On pouvait même s'asseoir sur une sculpture. Si,, si, c'était marqué mais j'ai préféré demandé au gardien... Sait-on jamais !! Wharf ! Wharf ! T'imagines le scandale ! Un visiteur s'asseoit sur une oeuvre d'art !!
Trois quatre lignes pour une Germaine à la plage jolie à souhait !
Et le dos d'une blonde (pour me faire penser à Stéph').

La Petite Femme qui Peint était faite avec un flacon de Cif !! Avec des objets usuels, Robert Couturier faisait des objets poétiques teintés d'un soupçon d'ironie.

Le site du Musée Maillol est hyper-avare d'images mais heureusement, il y a les photos de Franck Horvat aussi exposées là-bas.

Boulevard saint-Germain, la belle inconnue du jour :

Tous les hommes se retournaient derrière elle...

En ai profité pour aller à la Maison de l'Amérique Latine. Expo de José Ostria.
Plutôt bien sans plus.

Hier soir, j'ai fini de lire La Jeune Fille à la Perle. J'ai beaucoup aimé (la jeune fille ou le livre ?). Vous allez me demander pourquoi j'ai lu ça ? Bonne question. En fait, ça n'a rien à voir avec la sélection Folio que l'on voit en ce moment sur les panneaux publicitaires ni avec le film que je n'ai pas vu.
J'avais acheté La Dame à la Licorne après avoir été au Musée du Moyen-Âge par pure compulsion et comme j'avais beaucoup apprécié, j'ai pris le célèbre livre de Tracy Chevalier à la bibliothèque.
Un antidote parfait au Da Vinci Code !

Ce matin, idem pour des raisons obscures, j'ai acheté le CD de Joss Stone :

Surtout pour son joli minois....
Car je ne connaissais absolument pas sa voix...
(Note ajoutée le samedi : c'était le son du jour de la Matinale du 5 Octobre 2004...)
Ouf ! Elle est dans la play-list d'Eric'n'roll, c'est donc que c'est du bon !
(Il a hyper bon goût, Eric...). Si j'ai un avis à recevoir sur la bonne zique actuelle, je crois bien que je vais d'abord aller consulter son blog !

Le Sérendip va bon train (ou plutôt bonne écume des jours). Traces veut jouer à Donjons et Dragons. On va passer plutôt à Dom Juan et Dragons. Ah ! Ah ! Ah ! Madame veut jouer, eh bien, nous allons jouer... Je sens que Dan va tomber amoureux d'Alice et que tout va basculer. Enfer et jalousies ! On lira la suite sur Poivre Blanc, le polar collectif.
Mon Utopie est-elle l'Anarchie ?

Je dois être blog-dépendant. J'ai rempli cinq billets sur cinq blogs différents aujourd'hui !? Passé-je mon temps devant mon ordinateur ? Qui sait ? Mais je crois me souvenir avoir fait des photos dans un jardin, ce matin et jouer à des jeux de société avec ma petite nièce cet après-midi. Ai-je rêvé ?

Ma "belle inconnue" risque de ne plus l'être longtemps. Google la classe première !!

Je joue aux cryptolemmes du gardien aussi.

Deux petites mises à jour de sites Internet.

J'ai lu ici et là que plus l'on blogue, moins on regarde la télé !
Je vais boire moins de coca....

Le Sérendip devient la Traces Academy. Wharf ! Wharf ! Ça va pas lui plaire mais j'aime bien quand je la fais réagir...