mardi 17 mai 2005

Limites

J'ai bêtement acheter le spécial SVM... sur les Weblogs.
La page sur les obligations juridiques du créateur de blog m'a fait rire et grincer des dents à la fois.
Il faudrait l'aval des deux parents pour mettre une photo d'enfant sur le Net (cela répond à une question de MVM) et donc TOUS LES GAMINS ET LES ADOS de Skyblog sont hors-la-loi puisqu'ils se mettent tous en photo les uns les autres sans demander à leurs parents.

Traces a répondu à une lointaine question : peut-on tout dire sur un blog ?
Ben NON. Surtout quand il s'agit des autres.
Ne pas toucher à l'IDENTITÉ des êtres.
Et j'ai enfin sorti Pascal D. de sa torpeur en le mettant en scène. Mais il ne censure rien, apparemment. Même si l'on peut se demander ce qui l'a fait sortir de sa réserve...

Je pense toujours que la juridiction sur le Web reste à faire.
Pas de photos, pas de musique (t'as le droit à 10 s), pas de films, pas de textes ??? Que resterait-il ?

En exclusivité exclusive

En exclusivité exclusive, mondiale et interplanétaire - même CNN, TF1 et I-Télé n'ont pas les images -, nous avons retrouvé un morceau de film avec Pascal Desfarges très recherché sur le Net et nous allons enfin savoir ce qu'est la Blogosphère :

Vidéo 2 Mo

Parabole de riz, parabole de lait

Parabole des deux amis :

Deux amis se rencontraient régulièrement pour aller au restaurant . Ils se connaissaient depuis l'enfance, avaient fait la même université.
L'un était devenu très riche et l'autre était encore très pauvre. Mais leur amitié subsistait ; l'un invitant l'autre dans un restaurant prestigieux puis l'autre invitant l'un dans une sympathique gargote. Ils discutaient de choses et d'autres :
- Dans le quartier nord de la ville, disait le pauvre, les enfants manquent d'école.
Et six mois plus tard, l'on commençait à construire une école dans le quartier nord.
- Incroyable, l'état de l'hôpital du quartier sud, faisait le pauvre.
Quelques temps après, l'on rénovait l'hôpital du quartier sud de la ville.
Et la vile prospérait.

Parabole des deux pécheurs.

Au bord d'une rivière, un homme péchait tranquillement quand un autre pécheur vint s'installer à ses cotés.
Ils commencent à discuter des bons vers, des meillleures lignes, des coins foisonnants. Ils rient complice ; l'heure du repas approche. Chacun sort son panier ; ils partagent, se font goûter sandwich et boîte de caviar, parlent de péche miraculeuse en s'esclaffant puis soudain l'un demande à l'autre de quel bord politique il est. Gauche sociale ouvrière. L'autre est plutôt droite libérale patronne. La conversation s'envenime. Leurs opinions divergent, le dialogue s'envenime, ils en viennent aux mains, balancent les lignes de l'autre à la baille, coups de poing, ils se quittent en rage.


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